Archives mensuelles : février 2018

Un soir à Fort Lauderdale

Si dans son immense majorité l’habitat Nord Américain est horizontal, dans certains cas, il est aussi vertical. C’est le cas des quartiers désirables, comme cet immeuble, où depuis le 33ième et dernier étage la vue est imprenable.Les bords de rivières et canaux sont fort prisés, la preuve, le chantier juste en bas de la photo prépare la montée d’une tour d’une petite quarantaine d’étages.Pour cet immeuble, placé en bord de rivière, la montée d’une tour, au moins sur cette rive ne fermera que partiellement la vue. Et puis, après m’être régalé du panorama, je suis rentré à la maison.Sur le chemin, un de ces petits convois ferroviaires, convois dont l’Amérique a le secret, m’a bloqué et permis de compter les wagons. Arrivé à 100, mon compteur s’est bloqué, probablement un overflow, dépassement de capacité en français. L’éponge entre les oreilles entre en période d’obsolescence programmée.

Corruption ?

Mon hôte pour cette soirée m’a affirmé que, dans un passé récent, les plans locaux d’urbanismes imposaient une hauteur maximale à une dizaine d’étages. Soudain, les prix explosant, les limitations de hauteur ont été abolies.

Il y aurait-il eu un Lobbying efficace ?

Il est vrai que les campagnes électorales sont si dispendieuses qu’un petit coup de main pour financer la campagne et arriver en tête n’est pas à négliger. Mais comme ces coups de mains sont rarement sans aucune arrière pensée ni contre-partie…

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Play it again Mende

En ce Dimanche, il fait froid et le pire est à venir. Alors quoi de mieux qu’un déjeuner à Mende dans un de mes restaurants préférés.

Voyage aller sans photos, en revanche, pour le retour, j’ai monté l’appareil photo sous l’aile. Au sol, il fait froid, -2°. Un excellent test de la qualité de baroudeur de l’appareil, en vol la température externe tombera à -6° Les abords des Monts Lozère sont bien enneigés, heureusement que la cabine de l’avion est bien chauffée malgré quelques courants d’air plutôt glacials.

Plus on approche du Rhône, plus la neige se retire. A quelques encablures d’Aubenas, il ne reste plus rien. Reste à se poser, un petit vent irrégulier et turbulent de travers. Pour le réussir, il faudra souffler les ailes pour trouver les bonnes attitudes.  Piste bien alignée. Poser  un peu acrobatique mais sans taper ni rebondir.Arrivée au club, quelques avions dehors. Il aurait été fâcheux de ne pas profiter d’une fenêtre de quasi calme.

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