Love is not Tourism – 08

16 octobre 2020

  • 63 jours après avoir déposé la demande de Laisser-Passer dérogatoire, le très saint Sésame est arrivé. Vous le trouverez plus bas. Lundi 19 octobre 2020 nous quittons l’accueillant Sint Maartens, le côté batave de Saint Martin, par le vol AF 499 pour rejoindre la grisaille de l’Ile de France.
    Obtenir ce Laisser-Passer ne fut pas un parcours indolore, en cause les hésitations procédurières d’une bureaucratie peu capable de gérer à la fois une certaine improvisation et une relation client disons attentive.
  • 63 days after submitting the derogatory permit request, the Most Holy Sesame arrived. You will find it below. Monday October 19, 2020 we leave the welcoming Sint Maartens, the Batavian side of Saint Martin, by flight AF 499 to join the grayness of the Ile de France.
    Obtaining this laissez-passer was not a painless journey, the procedural hesitations of a bureaucracy little able to manage both a certain improvisation and a customer relationship, let’s say attentive.
19102020 - UMANSKY Susan Elizabeth - LINT

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2 réflexions sur « Love is not Tourism – 08 »

    1. jlc Auteur de l’article

      Oui, mais dans cette histoire il n’y a ni l’art ni la manière, il y a le lard et la lanière, lanière pour flageller la couenne. Techniquement la bureaucratie s’est prise à son propre piège : 63 jours pour traiter 800 dossiers, si le nôtre était le dernier, et cela n’est pas certain, quelle est la taille de la pile résiduelle.
      On ne peut à l’évidence parler de productivité et encore moins d’efficacité.
      Maintenant, à nous de naviguer entre couvre-feu, zone rouge et rencontres en tout petit comité.
      Finalement le cocooning a du bon.
      Et pour parodier Jean Ferrat avec son « que la montagne est belle », ce sera « que la grisaille est belle ».
      En conclusion, j’ajouterai qu’à deux, la grisaille peut être aussi désirable, surtout si la moitié est désirée.
      Merci pour le commentaire.

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