Archives quotidiennes :

Vide-Grenier à BlR

24 septembre 2023

 

En ce dernier dimanche de septembre, averti par mes anciens voisins du Plessis, après avoir fait bombance d’une demi-douzaine d’huitres et d’une frisée aux lardons, pour entamer l’après-midi, je me suis précipité sur le lieu du crime, un vide-grenier.

On this last Sunday of September, warned by my former neighbors of Le Plessis Robinson, after having swallowed half a dozen oysters and a « curly salad » bacon seasoned, to begin the afternoon, I rushed to the scene of the crime, a garage sale, called here an « Empty Attic ».

En chemin vers le marché aux Puces, j’ai pu observer les ravages du courrier électronique sur l’activité de la Poste. Même à proximité du bureau de poste, ils condamnent les boîtes à lettres.

On the way to the flea market, I was able to observe the collateral damages of email on the activity of the Post Office. Even near the post office main entrance, they rend the mailboxes unusable.

Et sur le chemin de retour, un accident immobilier. Une jolie villa des années 50(?) est promise à la démolition pour se voir remplacer par un machin équivalent.

And on the way back, a real estate accident. A pretty villa of the 30s (?) is promised to be demolished to be replaced by an equivalent thing.

Mais revenons à nos moutons, le vide-grenier. En fait, je n’ai vraiment besoin de rien sauf peut-être une paire d’appareils photo argentiques pour compléter ma collection. Soyons précis, le but de ces balades consiste à dénicher un Minox et un Rolleiflex, tous deux icônes des années 50.

But back to our topic, the yard sale. In fact, I really don’t need anything, except maybe a pair of analog cameras to add some Xing to my collection of antic cameras. Let’s be precise, the purpose of these walks is to find a Minox and a Rolleiflex, both being icons of the 60s.

Napoléon affirmait que le Monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Comme j’arrive sur site vers 14:00, l’espoir de satisfaire ma sélective fièvre acheteuse est faible. 

En fait, soyons honnêtes, de la drouille, encore de la drouille, toujours de la drouille. Entre la fringue et les objets parfaitement inutiles, pas grand-chose à signaler. Sauf peut-être la merveille proposée ci-dessous.

Napoleon claimed that the World belongs to those who get up early. As I arrive at site around 14:00, the hope of satisfying my very focused buyer fever is low. 

In fact, let’s be honest, drouille (French word to designate useless objects), more drouille, always drouille. Between the clothes and the perfectly useless objects, not much to report. Except perhaps the wonder proposed below.

Avec Susan nous avions visité à Paris le Mémorial de la Shoah qui présentait une série de dessins de Cabu en hommage mémoriel à la sinistre rafle du Vel d’Hiv.

Dans certains de ses dessins, Cabu rendait hommage à Dubout qui donnait à chacun des personnages dessinés une expression. C’est en souvenir de cette visite que je me suis ruiné de 2€.

With Susan we visited in Paris the Shoah Memorial which presented a series of drawings by Cabu in memory of the sinister Vel d’Hiv raid against the Jews, mid-July 1942.

In some of his drawings, Cabu paid homage to Dubout who gave each of the drawn characters an expression. It is in memory of this visit that I ruined myself 2 €.

SAMBA vs Linux properties

24 septembre 2023

Le protocole SMB de Microsoft permet un partage simple de fichiers entre machines hétérogènes. En utilisant ce protocole simple à mettre en œuvre, il est possible de partager et mettre en commun des ressources, fichiers… Toutefois, sur un point précis, la sécurité n’y retrouve pas son compte : la gestion des propriétés des fichiers et répertoires est simplement ni compatible ni cohérente et les fonctions « moins-disantes » s’imposent.

Un point précis m’aura mis la puce à l’oreille : le fichier, normalement exécutable, issu de la compilation d’un programme Fortran n’était pas exécutable. Plus gênant encore, il est impossible de forcer par une commande cette propriété et le rendre exécutable. Ce problème, je l’avais rencontré, non seulement, sur le disque branché sur ma Freebox et connecté sous SMB, mais aussi sur un autre PC Linux utilisé en serveur SMB. Deux serveurs SMB totalement différents montrant un problème identique, il devait y avoir une cause commune. Comme je ne comprenais pas les raisons qui m’interdisaient la gestion de la propriété « Exécutable » sur un fichier porté dans un répertoire partagé par SMB, mes recherches m’ont conduit sur le site suivant qui éclaire les raisons de ce sérieux problème. Le schéma ci-dessous résume l’impossibilité d’appliquer simplement les règles Linux de propriété à un système de fichiers SAMBA.

Donc si sous Linux on utilise SAMBA pour partager des fichiers, il faudra accepter une réduction du niveau de sécurité et surtout de cloisonnement des droits d’accès et d’exécution.